COLLOQUE CFE-CGC LES SERVICES PUBLICS, L’EUROPE ET L’ÉCONOMIE

La CFE-CGC organise un colloque sur le thème « Les services publics, l’Europe et l’économie : quels liens ? »

Pour ceux qui le souhaitent, retrouvons-nous au

siège de l’Union Régionale CFE-CGC de Corse,

3 rue Pierre Bonardi, 20090 Ajaccio

afin de suivre le colloque tous ensemble autour d’un apéro dînatoire

où nous pourrons échanger par la suite.

Places limitées, merci de nous confirmer votre présence

à l’adresse suivante : urcorse@cfecgc.fr

Bandeau Union Régionale CFE-CGC Corse

COLLOQUE CFE-CGC LES SERVICES PUBLICS, L’EUROPE ET L’ÉCONOMIE

La CFE-CGC organise un colloque sur le thème « Les services publics, l’Europe et l’économie : quels liens ? », le 28 octobre prochain de 18h à 20h, à la Maison de la CFE-CGC.

La CFE-CGC lance un cycle de conférences inédit, dont la première a pour thème : « Les services publics, l’Europe et l’économie : quels liens ? ». Cet événement se déroulera le mardi 28 octobre, à la Maison de la CFE-CGC (63 rue du Rocher à Paris), en présence d’André Thomas, secrétaire national au développement et à la représentativité du secteur public : https://www.cfecgc.org/actualites/services-publics-europe-et-economie-la-cfe-cgc-ouvre-le-debat

Nous accueillerons des chercheurs et économistes de renom, explorerons l’histoire des services publics, leur place dans l’économie et le rôle de l’État actionnaire.

Le service public s’invite partout au cœur de nos vies, sur tous les médias, TV, radios. Les mêmes qui dénoncent son coût, réclament aussi plus de soignants, de juges, de policiers ou une meilleure qualité de l’eau. Cette contradiction affaiblit la discussion.

À la CFE-CGC, nous pensons qu’il est urgent de sortir de ce guêpier éculé. Le service public, ce sont à la fois 5,7 millions d’agents de la fonction publique et aussi 3 à 4 millions de salariés du privé qui par voie de délégations le portent.

Notre ambition ? Solidifier avec vous une doctrine des services publics du XXIᵉ siècle.

Intervenants :
Pour cette première incursion qui s’intéresse aux liens avec l’Europe et l’économie, la CFE-CGC a le plaisir de réunir :

·     Benjamin Brice, docteur en sciences politiques. Auteur de « L’impasse de la compétitivité » et de « La Sobriété gagnante ».

·     Bruno Coquet, président du Cabinet UNO Études & Conseil. Expert associé à l’OFCE en économie et politiques publiques.

·     Hadrien Coutant, maître de conférences en sociologie à l’Université de technologie de Compiègne. Membre du laboratoire Costech.

·     Claire Lemercier, directrice de recherche au CNRS en histoire, coautrice de « La Valeur du service public » et de « Sociologie historique du capitalisme ».

·     Mélanie Vay, docteure en science politique (CESSP, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne), spécialiste des SIEG, responsable d’études et de recherches ‌à l’Institut Robert Badinter.

Inscriptions :

·     En présentiel : pour ceux qui le souhaitent, nous pouvons nous retrouver au siège de l’Union Régionale CFE-CGC de Corse au 3 rue Pierre Bonardi 20090 Ajaccio afin de suivre le colloque tous ensemble autour d’un apéro dînatoire où nous pourrons échanger par la suite. Merci de nous confirmer votre présence à l’adresse suivante : urcorse@cfecgc.fr

·     En distanciel : Inscrivez vous dès à présent : https://app.livestorm.co/enter10/cfecgc-servicespublics-europe-economie?utm_source=Livestorm+company+page

Union Régionale CFE-CGC de Corse

Colloque CFE-CGC : les services publics, l’Europe et l’économie : quels liens ?

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La France qui bosse contre la France qui s’accroche au fauteuil

Syndicats contre partis politiques, qui représentent vraiment la France qui bosse ?

Entre partis politiques en pleine perte de testostérone et syndicats qui, eux, carburent au café serré, la question est simple.

Qui a vraiment la légitimité pour se faire entendre à Matignon ?

Les adhérents syndicaux représentent environ 3,5 à 4 % du corps électoral.

Graphique comparatif représentativité

La France qui bosse contre la France qui s’accroche au fauteuil

Les partis politiques font beaucoup de bruit avec peu de monde

  • Les Républicains : 121 617 adhérents, grâce à une opération séduction façon braderie géante.
  • Rassemblement National : revendique 110 000 adhérents en 2025 (ça suffit à être le premier groupe à l’assemblée).
  • La France Insoumise : environ 106 000 inscrits dans des groupes d’action (mais tous ne paient pas leur écot).
  • Parti Socialiste : autour de 40 000 militants à jour de cotisation (c’est moins qu’un derby au stade Vélodrome).
  • Renaissance (ex-LREM) : 8 500 adhérents en 2024 (soit moins qu’un club de pétanque bien organisé).
  • Les Écologistes (ex-EELV) : entre 6 000 et 8 000 adhérents (les entrées d’une série B un soir d’hiver).

La course à l’adhérent… façon club de zumba amène à un total de 300 000 encartés, soit environ 1 % du corps électoral.

 

Du côté des syndicats, la machine à café ne désemplit jamais

  • CFDT : 640 631 adhérents.
  • CGT : un peu plus de 600 000.
  • FO : entre 300 000 et 350 000.
  • CFE-CGC : environ 150 000 (spécifique encadrement).
  • CFTC : autour de 120 000.

C’est au total plus de 1,8 million d’adhérents, soit six fois plus que les partis politiques. Et encore, sans compter les salariés qui votent aux élections professionnelles avec près de 36 % de participation. Pas mal, quand on compare aux scrutins nationaux où une majorité de Français préfère rester au balcon.

La CFE-CGC à elle seule pèse autant que la coalition du « Nouveau front populaire ».

Légalité n’est pas légitimité.

Souvenons-nous : en 2022, Emmanuel Macron a été réélu avec 58,55 % des suffrages exprimés. Impressionnant… sauf que cela ne représente que 38,5 % des inscrits. Et en 2024, le plus gros groupe de l’Assemblée nationale, le RN, ne détient que 21 % des sièges.

Bref, question représentativité, c’est plutôt du “light”.

Alors ?

  • Partis politiques : 300 000 adhérents, mais un pouvoir institutionnel démesuré par rapport à leur base réelle.
  • Syndicats : 1,8 million d’adhérents, un rôle légal dans la négociation collective, une présence dans toutes les entreprises et administrations, une représentativité nationale validée par le Haut Conseil du Dialogue Social et des droits rognés drastiquement sous l’ère Macron.

Les partis parlent fort tous les cinq ans, les syndicats sont sur le terrain tous les jours.

Les adhérents syndicaux représentent environ 3,5 à 4 % du corps électoral.

Si les gouvernements veulent vraiment “écouter le peuple”, il serait peut-être temps d’arrêter de jouer au loto avec les urnes et de prêter une oreille attentive aux syndicats. Les candidats aux portefeuilles ministériels devraient peut-être arrêter de se chamailler pour le micro entre partis et reconnaître que les syndicats, eux, sont parfois plus représentatifs, et surtout plus connectés à la réalité du boulot et des difficultés quotidiennes de la population. Compter sur les partis politiques pour prendre soin du monde du travail, c’est faire entrer le loup dans la bergerie.

En clair, les syndicats, eux, représentent réellement des millions de travailleurs. Alors la prochaine fois qu’un ministre nous dit qu’il “écoute la base”, qu’il commence par se brancher sur la bonne fréquence : celle du monde du travail portée par les organisations syndicales.

02 octobre : tous mobilisé !

Rassemblements 

AJACCIO : 11 h 00 – Préfecture.

BASTIA : 10 h 00 – Tribunal

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Communiqué – 18 septembre : tous mobilisés !

18 septembre : tous mobilisés !

RENDEZ-VOUS :

 

  • AJACCIO : à 10 heures à la gare d’Ajaccio !
  • BASTIA : à 10 heures au Palais de Justice !

18/09 Tous mobilisé

La CFE-CGC appelle à ce que le gouvernement, quel qu’il soit, prenne en compte la réalité des efforts considérables consentis par les salariés du privé ainsi que l’ensemble des agents de la fonction publique pour élaborer un projet de budget qui soit le reflet de cette prise de conscience.

Une répartition des efforts largement revisitée, des aides aux entreprises rationnalisées et une place plus large et plus juste donnée au dialogue social seront les garanties d’une cohésion sociale durable et d’un avenir économique prospère.

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Pétition budget 2026

Pétition budget 2026 : stop aux sacrifices pour le monde du travail !

Pétition intersyndicale adressée au Premier ministre par l’intersyndicale : CFE-CGC, CFDT, CGT, FO, CFTC, UNSA, FSU, SOLIDAIRES

Budget : les sacrifices pour le monde du travail ça suffit !

⮕ Signer la pétition
Budget : les sacrifices pour le monde du travail ça suffit !

Le 15 juillet, le Premier ministre François Bayrou a présenté les axes d’un budget d’une brutalité sans précédent.

Après le mouvement social inédit de protestation contre la réforme des retraites, sans tenir compte des aspirations des travailleuses et travailleurs comme de l’évolution du monde du travail, le gouvernement nous annonce à nouveau une litanie de mesures là encore, brutales, injustes et inefficaces ! 

Citons la suppression de deux jours fériés, des coupes dans les services publics, la remise en cause du droit du travail, une énième réforme de l’assurance chômage, le gel des prestations sociales et celui des salaires des fonctionnaires comme des contractuel·les, la désindexation des pensions de retraites, le doublement des franchises médicales, la remise en cause de la 5ème semaine de congés payés… Le gouvernement a choisi de faire payer les travailleuses et les travailleurs, les précaires, les retraité·es, les malades.

Or, face au sérieux des déficits publics, il existe des solutions qui intègrent les plus hauts revenus comme la contribution des entreprises.

  • des entreprises qui continuent à percevoir chaque année 211 milliards d’euros d’aides publiques, sans transparence, ni évaluation, et surtout sans conditionner ces aides à l’atteinte de quelconques objectifs en matière d’emploi, de qualité de l’emploi, ni de respect d’ambitions sociales ou environnementales.
     
  • des dividendes records, surtout, en cas de licenciements ou délocalisations.
     
  • de la justice fiscale concernant les hauts revenus qui échappent à toute contribution réelle.

Et tout cela alors que des rapports récents montrent l’indécence de cette situation au vu de l’explosion des inégalités et du nombre dramatique de personnes basculant en dessous du seuil de pauvreté.

Le problème de la dette, c’est d’abord le manque de recettes. Il est temps d’accepter d’ouvrir la discussion sur la progressivité de la fiscalité, la contribution des hauts revenus ou des patrimoines, et la légitimité de l’optimisation fiscale !

Pas question que ce soient encore les travailleuses et travailleurs, les demandeurs d’emploi, les jeunes et les retraité·es qui payent la facture, à la fois financièrement, mais aussi dans une flexibilité encore intensifiée !

L’ensemble des organisations syndicales appelle à refuser ce musée des horreurs, à défendre ensemble notre modèle social et la dignité au travail.

Ce que nous attendons, c’est un projet respectueux pour le Pays, porteur d’espoir et de justice.

Je signe cette pétition pour exiger l’abandon immédiat de ces mesures.

Pétition intersyndicale : Communiqué de presse intersyndical (pdf)


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Non au recul des droits en cas de maladie ! Action & Démocratie / CFE-CGC saisit le Conseil d’État

Communiqué

Action & Démocratie / CFE-CGC

saisit le Conseil d’État

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Fidèle à son identité et aux valeurs portées par sa dénomination, le syndicat de l’éducation de la CFE-CGC Action & Démocratie choisit, une fois encore, d’agir pendant que d’autres renoncent ou font semblant en se bornant à publier des communiqués sans conséquence, à lancer des pétitions sans stratégie ou bien à
appeler à des grèves sans résultat.

Non au recul des droits en cas de maladie !

Le syndicat Action & Démocratie / CFE-CGC a officiellement saisi le Conseil d’État afin de faire annuler la circulaire du 15 mars 2024, qui réduit à 90 % le traitement des fonctionnaires en congé de maladie ordinaire.

Ce texte, émanant de la Direction générale de l’administration et de la fonction publique (DGAFP), impose à des milliers d’agents publics, déjà fragilisés par la maladie, une perte de rémunération injuste et brutale.

Pour Action & Démocratie / CFE-CGC, cette mesure constitue un recul sans précédent des droits des agents, en particulier dans un contexte où la souffrance au travail, le burn-out et les arrêts maladie liés aux conditions d’exercice sont en forte hausse dans l’Éducation nationale.

« Pénaliser financièrement un agent malade, c’est le doublement de la peine. C’est inadmissible. La santé des agents publics ne peut pas être une variable d’ajustement budgétaire. », déclare Jean-Michel LUJAN-TADDEÏ, président de la section corse du syndicat.

En saisissant le Conseil d’État, Action & Démocratie entend faire respecter le principe de protection des agents publics et faire barrage à toute tentative d’érosion de leurs droits fondamentaux.

👉 Action & Démocratie dépose également une question prioritaire de constitutionnalité à propos de cette circulaire qui fait peser sur les seuls fonctionnaires la charge de combler les déficits du budget de la nation, qui plus est au détriment de leur santé.


📩 Contact presse :
Action & Démocratie / CFE-CGC de Corse
aetd.corse@gmail.com

🔗 Plus d’infos : https://actionetdemocratie.com/90-du-traitement-en-cas-de-maladie-ad-saisit-le-conseil-detat/

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Retraite progressive à 60 ans dans la fonction publique

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Communiqué intersyndical 13 mai 2025

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Soutien et action suite à l’agression d’une collègue à Bastia

Communiqué

Le Syndicat Action & Démocratie / CFE – CGC Corse apporte son soutien total et entier à notre collègue victime de l’agression inqualifiable survenue à l’école Defendini de Bastia le vendredi 4 avril.

Nous tenons à exprimer notre solidarité la plus sincère envers elle face à cette épreuve. En signe de soutien et en écho à l’appel lancé par d’autres organisations syndicales, Action & Démocratie / CFE – CGC Corse s’associe pleinement à l’appel à procéder à un

débrayage dans tous les établissements de l’académie de Corse le lundi 7 avril dès 8 h 30.

 Nous encourageons tous nos adhérents et l’ensemble des personnels à se joindre à ce mouvement afin de marquer notre indignation face à cet acte de violence et de réaffirmer notre exigence d’un environnement de travail sûr et respectueux pour tous. Action & Démocratie / CFE – CGC Corse prend acte positivement de la réaction rapide et des mesures prises par le Rectorat de l’académie de Corse suite à cette agression. Nous saluons notamment la prise de contact immédiate avec les équipes, le déplacement de l’autorité hiérarchique, la mise en place de la protection fonctionnelle et le dépôt de plainte par les services académiques. Nous notons également avec satisfaction l’interpellation rapide de l’auteure présumée des faits et son placement sous contrôle judiciaire, confirmés par le procureur de Bastia. Cependant, Action & Démocratie / CFE – CGC Corse déplore vivement la répétition trop fréquente de telles agressions à l’encontre des personnels de l’éducation. Ces actes sont intolérables et rappellent la nécessité d’une vigilance constante et de mesures de protection efficaces pour garantir la sécurité de tous au sein de nos écoles. Nous tenons à rappeler à l’ensemble des personnels de l’académie de Corse l’existence du guide académique d’accompagnement intitulé « Gestion des situations complexes », dont l’élaboration a bénéficié de la participation des organisations syndicales. Cet outil précieux met à disposition des personnels l’ensemble des procédures visant à garantir un soutien inconditionnel de l’institution en cas d’incivilité ou d’agression dans le cadre de leurs fonctions. Ce guide est téléchargeable à l’adresse suivante :https://www.ac-corse.fr/media/27140/download.Nous encourageons vivement chacun à en prendre connaissance. Action & Démocratie / CFE – CGC Corse restera vigilant quant au suivi de cette affaire et continuera d’œuvrer pour la défense des droits et la sécurité de tous les personnels de l’éducation en Corse. Le bureau académique

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Toute la communauté Corse est sous le choc

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Rencontre à Ajaccio avec Monsieur le ministre de l’Action publique, de la Fonction publique et de la Simplification

Communiqué

Rencontre le 07 mars 2025 15H30 à Ajaccio avec Monsieur le ministre de l’Action publique, de la Fonction publique et de la Simplification.

 Monsieur le ministre de l’Action publique, de la Fonction publique et de la Simplification, a reçu la CFE-CGC de Corse ce vendredi 7 mars 2025 à Ajaccio. 

Action & Démocratie / CFE-CGC Corse faisait partie de la délégation.

Lors de cet entretien, la CFE-CGC de Corse a remis à monsieur le Ministre, la contribution au volet social sur l’autonomie « Processus Beauvau ».  Ce document détaille nos contributions et revendications syndicales dans le cadre des discussions sectorielles  sur le volet social de l’autonomie de la Corse.  Il met en lumière les enjeux sociaux cruciaux pour les salariés et fonctionnaires de Corse, dans un contexte socio-économique marqué par un coût de la vie élevée et des particularités démographiques, géographiques et économiques de la Corse.

 

Action & Démocratie / CFE-CGC Corse porte les préoccupations des agents au Ministre

 Nous avons échangé particulièrement sur les revendications sociales de la CFE-CGC de Corse pour la fonction publique dans le cadre du processus d’autonomie.  La CFE-CGC siégeant au niveau national, au Conseil Supérieur de la Fonction publique, notre syndicat portera ses propositions également dans cette instance. Concernant la fonction publique : Action & Démocratie  / CFE-CGC de Corse a exposé ses revendications spécifiques au secteur public en général et pour l’Éducation nationale, incluant la préservation des statuts de la fonction publique, l’importance de garantir la diversité de la représentativité syndicale et sa cohérence avec la représentativité syndicale nationale.  

  •  Nous avons insisté sur la nécessité de préserver et d’améliorer les statuts de la fonction publique en corse, en garantissant, comme pour le privé, l’application de la règle du mieux-disant entre les dispositions sociales nationales et régionales dans le cadre de l’autonomie à venir.
  • Nous avons demandé la pérennité des moyens financiers correspondants par l’État. Ces deux conditions nous paraissant essentielles pour assurer le progrès social dans le temps.
  • Nous avons souhaitez attirer l’attention sur la situation particulière des fonctionnaires en Corse, notamment en ce qui concerne le pouvoir d’achat et les conditions de mutation.
    • Nous revendiquons une majoration de traitement de 14 % pour rétablir une équité de pouvoir d’achat entre les fonctionnaires, ainsi que l’institution d’un barème de bonification qui favorise les mutations en Corse des fonctionnaires ayant des liens avec l’île.
  • Un point sur le devenir des établissements publics, France travail, AFPA, hôpitaux,  etc et de leurs personnels a été abordé 

           La CFE-CGC de Corse entend porter la voix des agents de la fonction publique et du secteur privé dans les discussions générales et sectorielles à venir et nous avons demandé lors de cet entretien avec le ministre, la création, dès à présent, d’un institut du dialogue social en Corse, pour travailler sur un socle de propositions et d’adaptations des textes sociaux nationaux si nécessaire, au contexte régional dans le cadre de l’autonomie.  En conclusion, la CFE CGC demande que soit gravé dans le marbre que l’autonomie ne se traduise pas par une régression sociale et nous avons rappelé nos revendications générales :

  • Que le statut d’autonomie garantisse le maintien des dispositions sociales nationales dans le secteur public et privé.
  •  Que les acquis et textes sociaux nationaux en vigueur constituent le socle « minimum social garanti » : Dispositions du Code général de la fonction publique ,différents accords nationaux et régionaux du secteur public. Pour le secteur privé : les accords de branches, conventions collectives nationales, le code du travail, les accords régionaux en vigueur etc….).
  • Que les accords sociaux régionaux proposés à l’autonomie, modifiant les dispositions des accords sociaux nationaux et régionaux en vigueur devront être validés par la signature majoritaire des syndicats pour être applicables.  

Action & Démocratie / CFE-CGC Corse remercie Monsieur le ministre de l’Action publique, de la Fonction publique et de la Simplification de cette démarche d’écoute des spécificités locales.

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